ÉVÉNEMENT
A Better Africa for All: Building Trust & Empowering People
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Depuis sa nomination au Sénat en 2018, Julie Miville-Dechêne a présenté deux projets de loi d'initiative sénatoriale : la nouvelle loi Projet de loi S-211, contre le travail forcé et le travail des enfants dans les chaînes d'approvisionnement, à compter du 1er janvier 2024 ; et Projet de loi S-210 ce qui rendrait obligatoire la mise en œuvre de mécanismes de vérification de l’âge pour protéger les mineurs contre l’exposition à la pornographie en ligne. Ce dernier projet de loi a été adopté en avril 2023 par le Sénat et est actuellement à l'étude à la Chambre des communes.

Elle est vice-présidente du Comité sénatorial permanent des transports et des communications.

Julie Miville-Dechêne a connu une longue carrière dans la fonction publique où elle s'est démarquée par son talent de communicatrice.

Très tôt, elle se consacre au journalisme, une carrière qui la mènera à travers le Québec, le Canada et les États-Unis pendant plus de 25 ans, et à travers laquelle elle rencontrera des gens de toutes cultures et de tous horizons. Julie Miville-Dechêne a été correspondante pour la télévision de CBC-Radio-Canada à Montréal, Toronto, Ottawa et Washington. Elle a couvert les négociations constitutionnelles, l'attentat à la bombe d'Oklahoma City et l'intervention américaine en Haïti, pour n'en nommer que quelques-uns.

En 2007, elle devient la première femme ombudsman de Radio-Canada, une expérience qui lui permet d'acquérir une solide expertise en éthique. Ces décisions publiques ont examiné de près les mécanismes du journalisme et ont révélé des erreurs ou des préjugés.

En 2011, Julie Miville-Dechêne est nommée présidente du Conseil du gouvernement du Québec Conseil du statut de la femme. Pendant cinq ans, elle a modernisé l'institution en la rendant pertinente pour les jeunes femmes. Elle a également utilisé son indépendance pour faire connaître l'institution et s'exprimer publiquement sur les grandes questions touchant les femmes, notamment les violences sexuelles, et en participant à des recherches sur le terrain. Sous sa direction, le Conseil a publié des articles remarquables sur la prostitution, la violence fondée sur l'honneur et les mères porteuses. Elle a exprimé de sérieuses inquiétudes concernant la charte de laïcité du gouvernement en 2013.

En 2016, elle fait le saut vers la diplomatie, occupant successivement les fonctions de représentante du Québec au sein de la Délégation permanente du Canada auprès de l'UNESCO, puis d'envoyée du gouvernement du Québec pour les droits et libertés de la personne.

En 2008, elle a reçu le prix Reconnaissance UQAM Prix pour sa contribution exceptionnelle au développement de sa profession. En 2005, elle reçoit le prix Raymond-Charette pour la qualité exceptionnelle du français dans le journalisme audiovisuel. En 2002, elle a remporté le New York Festivals International Advertising Award pour son reportage sur les enfants et le terrorisme, Les enfants et le terrorisme.

Mme Miville-Dechêne est titulaire d'un diplôme d'études supérieures en prévention et résolution des conflits du Université de Sherbrooke, une maîtrise en journalisme de l'Université Columbia de New York et une licence en sciences politiques de l'Université Université du Québec à Montréal.

La sénatrice Miville-Dechêne est coprésidente du Groupe multipartite de lutte contre l'esclavage moderne et la traite de personnes.

En plus de ses activités sénatoriales, Julie Miville-Dechêne est administratrice bénévole d'un organisme à but non lucratif (OBNL) : Partagez la chaleur

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